AMOTO dans les Pyrénées
- 29 juin
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 2 juil.

Treize membres AMOTO s’étaient initialement inscrits sur ce road trip organisé par notre ami Dom du 02 au 07 juin 2025. Mais seuleument neuf sont partis user du pneu dans les Cols Pyrénéens (suite à annulation, chirurgie, et malheureusement un décès d’un parent).
Lundi 2 juin : 755 km - Domloup → Luz-Saint-Sauveur
Lundi matin 8h00, nous quittons Domloup pour notre Road Trip dans les Pyrénées. Pascal et Jocelyne, malgré leur peine, décide de nous accompagner jusqu’à Nantes. Nous avons donné rendez-vous à Mireille à l’aire de repos de Pomméniac, située au sud de Bain-de-Bretagne. Vers 9h40, c’est à l’aire de service Bouguenais sur le périphérique sud de Nantes que nous retrouvons nos quatre amis et participants. C’est donc à 7 et 4 motos que nous ferons le trajet, nous retrouverons Lionel et Christiane à Luz-Saint-Sauveur, qui auront fait le trajet en deux jours. C’est ici que Pascal et Jocelyne, nous quittent le cœur lourd, pour retourner à Domloup. Nous profitons tous de cet arrêt pour refaire le plein de carburant, et la petite troupe repart en prenant l’Autoroute en direction de Bordeaux. Le deuxième arrêt s’effectue sur l’A10 à l’aire de Saint-Léger. Ravitaillement essence et pause pique-nique. Le troisième arrêt de ravitaillement se fera à l’Aire de l’Adour sur l’A65. Le temps se gâte, la pluie menace, nous nous équipons avant de reprendre la route. Une petite pluie nous accompagne et nous sortons de l’Autoroute A64 à Tarbes. Nous continuons par la N21 en direction de Lourdes, la pluie redouble de puissance et ne nous quittera plus jusqu’à Luz-Saint-Sauveur. Les 150 derniers kilomètres, nous ont parus assez long, du fait d’une pluie battante accentuée par un vent de travers. Il est 17h30, quand nous arrivons au village vacances. A notre arrivée à l’accueil, Katell nous reçoit chaleureusement et nous souhaite la bienvenue. Nous remarquons le petit drapeau breton posé sur le bureau, de suite la conversation s’engage sur notre belle région, car Katell est du Morbihan. Après les conseils d’usages, cette dernière nous présente l’équipe du village vacances. Ludo le barman, Francis le responsable de salle et son équipe, Stéphane le chef cuisinier et sa brigade, Yannis et Dimitri au service technique, David et Sarah les animateurs, et Manon qui est la directrice du village vacances. Nous prenons rapidement possession de nos chambres individuelles, équipées d’une salle de douche, avec toilette. Lionel et Christiane nous rejoignent vers 19h30, sous une pluie battante. La petite troupe AMOTO est désormais au complet.

Mardi 3 juin : 147km - Lac de Gaube - Pic-Du-Midi
Le départ est donné à 8h00 pour rejoindre le parking du Punta à Cauterets. Nous faisons un arrêt à la magnifique cascade en espalier du Pont d'Espagne. Elle est alimentée par le gave de Gaube qui traverse le lac Des Huats, avant de prendre sa source à la sortie du lac de Gaube. Puis c'est la montée en télécabine, suivi d’une petite marche de 5mn, avant de prendre le télésiège vers le lac de Gaube. Puis encore 20mn de marche et nous découvrons, certainement le plus emblématique Lac de Gaube, niché au cœur du Parc National des Pyrénées en pays de Bigorre à une altitude de 1725 mètres. Ce magnifique lac d’origine glaciaire est situé au-dessus du village de Cauterets. D’une profondeur moyenne de 40 mètres et une surface de 19 hectares, et il est approvisionné depuis le pied du Vignemale par le gave des Oulettes. En toile de fond, le Vignemale domine la vallée du haut de ses 3298m, c’est le géant des Pyrénées françaises. Une pause détente, le temps de prendre des photos et une boisson chaude, et, c’est le retour au parking Du Punta, où nous attendent nos montures.
Nous reprenons la route de Luz-Saint-Sauveur en direction de La-Mongie. Une fois passé Luz, nous empruntons la route du Tourmalet D918, pour accéder au col. Le col du Tourmalet, avec ses 2115 m d’altitude est le plus haut col routier des Pyrénées. La montée est longue de 19 km, avec une pente moyenne de 7,4%. Elle n’offre pas de difficultés particulières, sauf quelques portions en épingles et le dernier km avant le sommet qui passe les 10% de déclivité. Un arrêt photo est obligatoire pour ramener un beau souvenir, avec une neige toujours présente par endroit. Nous passons le col et arrivons à la station de La Mongie. Mais, des travaux de voirie, nous oblige à prendre une déviation en très mauvais état, nombreuses ornières, afin d’arriver au parking. La station de sports d’hiver est située à 1745 mètres d’altitude. Nous pique-niquons sur place, car nous devons être à 13h40 devant l’embarquement du téléphérique du Pic-Du-Midi-De-Bigorre. À 14h20, la petite troupe monte à bord de la grosse cage vitrée. Le grand téléphérique, d’une capacité de 40 personnes, quitte la gare de départ à la vitesse de 45 km/h. L’ascension des 1132 mètres de dénivelé, sur 4410 m de longueur, est impressionnante. Un premier trajet nous conduit jusqu'à la gare intermédiaire du Taoulet située 2305m. Nous changeons de quai, et prenons une autre cabine, pour la seconde partie, encore plus spectaculaire, nous sommes alors à 320 mètres au-dessus du vide. L’arrivée en gare supérieure est à 2877 m d’altitude, en tout l’ascension n’aura duré que 15mn. Nous accédons directement aux terrasses panoramiques avec une vue imprenable sur la chaîne des Pyrénées qui s’étend sur 300 km. La station d'observation d'astronomie et météorologique y est mondialement connue. Les paysages sont à couper le souffle. Des tables panoramiques et d’orientations, nous aident à identifier les sommets les plus importants de la chaîne pyrénéenne. La salle espace et expérience est à faire, on y aborde différents thèmes de recherches sur : Le soleil, les météorites, les rayons cosmiques, les étoiles, l’atmosphère. Un animateur nous fait une belle présentation de notre environnement. Nous avons également accès à une passerelle métallique de 12 m de long accrochée à la roche au-dessus du vide, l’extrémité est vitrée, gare au vertige. Nous dominons les nuages pour un point de vue exceptionnel et vertigineux. Du haut de la terrasse panoramique, légèrement en contrebas, nous apercevons un Gypaète Barbu. Ce grand rapace des Pyrénées à une envergure de 2,30 à 2,80m pour un poids de 4,5 à 7 kg. Pendant notre descente en téléphérique, nous avons l’occasion d’en voir d’autres. Nous retrouvons nos motos sur le parking de La Mongie, dans un brouillard épais. Pas de chance, nous empruntons de nouveau cette satanée déviation, remplit de trous. Les premiers kilomètres se font en douceur, car la visibilité n’excède pas 20m, pas facile d’ouvrir la voie. Ouf, peu avant le sommet du Tourmalet, ça s’améliore et nous regagnons Luz-St-Sauveur sans encombre. Nous avons passé une première journée riche en émotion et en découvertes. La soirée s’achève au restaurant du village vacances.
Diaporama ci-dessous :
Mercredi 4 juin : 218km - Saint-Bertrand-De-Comminges - Grottes de Gargas
8h30, départ de notre camp de base pour rejoindre Saint-Bertrand-De-Comminges par des petites routes plus ou moins sinueuses. Nous traversons les jolis villages de Montgaillard, La Barthe-De-Neste et Montréjeau. Nous garons nos motos sur le parking en contrebas de la cité fortifiée de St-Bertrand-De-Comminges.
Avant de s’appeler Saint-Bertrand-De-Comminges, trois siècles avant J.C le peuple celte Convènes érigea un oppidum sur cette colline. A la conquête de la Gaule, en 72 avant J.C elle devient une importante cité Gallo-romaine sous le nom de Lugdunum Convenarum, et, Saint-Bertrand-De-Comminges au VIème siècle. Avant de commencer la visite, une pause-café est la bienvenue. Saint-Bertrand-de-Comminges est situé dans le département de la Haute-Garonne. Cette magnifique cité médiévale est encore entourée par une grande partie de ses remparts gallo-romain. La cathédrale Sainte Marie est érigée du XIe au XIIe siècle, sur les fondations de l’ancienne cité romaine. A l’intérieur de la cathédrale des stalles du XVIème siècle, destinées à séparer le flux des pèlerins des chanoines, un orgue d’angle très rare également du XVIème à la sonorité exceptionnelle. La porte Majou (majeur en occitan) date du XVème siècle, construite sur les assises d’une antique tour romaine. Au 1er étage, un poste de guet, transformé plus tard en prison. Saint-Benoît-Joseph Labre y fut emprisonné au XVIIIème siècle. Les ruines du théâtre antique adossées aux pieds des remparts, ont été utilisées pendant longtemps comme carrière. Les thermes, dont il reste que les fondations, témoignent de l’importance de la cité antique. Saint-Bertrand possède un admirable et exceptionnel patrimoine bâti médiéval et antique.
Nous quittons St-Bertrand, et rejoignons notre prochain lieu de visite situé à seulement 15mn. Les grottes préhistoriques de Gargas qui sont uniques par leurs richesses en peintures. Nous débutons par le centre d’interprétation Nestploria. Il permet de mieux comprendre les secrets des grottes, grâce à des outils numériques. A 15h00, nous entamons la visite guidée et commentée avec notre guide. Les grottes de Gargas sont les seules grottes ornées ouvertes au public. Elles sont constituées de deux grottes bien distinctes, l’une est basse et large, tandis que l’autre est étroite et effilée. C’est plus de 200 mains négatives d’hommes, de femmes et d’enfants, qui sont représentées sur les parois, allant de moins 29 000 à moins 22 000 ans avant J.C. C’est exceptionnel et incroyable. Il y a également des gravures et des peintures animales. Nous laissons derrière nous les grottes, enfourchons nos montures pour quelques encablures et faisons un arrêt au calvaire du Mont-Arès. C’est un ensemble de onze oratoires construit en pierre et chaux entre 1855 et 1860. Le retour depuis Aventignan se fait sous quelques averses de pluie, par des routes très étroites, ce qui permet de passer par trois petits cols peu connus. Le 1er c’est le col des Palomières perché à 810m d’altitude, avec plusieurs passages techniques et une pente maxi à 8%. Un petit passage par Bagnères-de-Bigorre et le 2ème se présente, le col de la Croix Blanche et ses 820m d’altitude, avec un très beau point de vue sur la plaine de Tarbes et Pau. Le 3ème, et le dernier de la journée est le col de Lingous à 575m. il est 18h30, quand nous abordons le parking du village vacances. Une bonne douche, suivit du repas pris ensemble au restaurant du village.
Diaporama ci-dessous :
Jeudi 5 juin : 264 km - Village d’Arreau - Vallée du Louron
Nous quittons Luz-St-Sauveur à 8h30 et le groupe me suit en direction du col du Tourmalet 2115m, notre 1er col de la journée, que nous avons déjà grimpé mardi. Nous rencontrons du brouillard dans la montée du col d'Aspin, et au sommet à 1489m d’altitude. C’est dans une purée de pois, que nous réalisons quelques photos. Nous arrivons à Arreau sous le soleil et la pause-café s'impose naturellement. C’est jour de marché, il a lieu tous les jeudis matin, c’est un rendez-vous incontournable et une tradition très ancrée dans la culture locale. Chacun en profite pour flâner au milieu d’une multitude de camelots. Arreau est un village de montagne très attirant, il est niché au cœur de la vallée du Louron et d’Aure à une altitude 745m. C’est un carrefour économique historique des quatre vallées de la Neste, de l’Aure, de Barousse et de Magnoac. Arreau a surtout marqué l’histoire économique à une époque pas si lointaine, avec un centre artisanale drapier au XVIe et XVIIe, ses foires et ses marchés très importants, puis ses touristes et son centre thermale pour curistes avec l’arrivée du train à la fin du XIXe siècle. De nombreuses passerelles et ponts enjambent les rivières La Neste d’Aure et La Neste du Louron, cela apporte beaucoup de charme et de vivacité à ce beau village. La visite d'Arreau au patrimoine bâti exceptionnel et protégé se fait au rythme de chacun dans les rues et les ruelles médiévales. Voici quelques exemples du patrimoine bâti : La maison des lys à deux étages en encorbellement, avec une structure à colombage de la fin du XVIème, la chapelle Saint-Exupère d’Arreau est datée du XIIème siècle, l’église Notre-Dame construite du XVIe au XVIIIe, le château de Ségure est édifié du XVe au XVIe siècle au bord de La Neste Du Louron, ancienne propriété des comtes de Labarthe. Nous reprenons notre balade, par la D618 via Bordères-Louron et le col de Peyresourde à 1563m. Peu-après Saint-Aventin nous bifurquons sur la gauche et filons sur la route étroite D51. Nous entamons la montée de 19km du col de Port de Balès, avec une pente comprise entre 4 et 8%. De beaux paysages et de jolis villages bordent la chaussée de part et d’autre. Port Balès à 1755m d’altitude, marque le passage entre la Haute-Garonne et les Hautes-Pyrénées. La descente vers Mauléon-Barousse se fait à allure modérée, car elle est parsemée de gravillons. Le retour se fait par Bagnères-de-Luchon et de nouveau par le col de Peyresourde (D618). Nous longeons le lac de Génos-Loudenvielle par la D25, pour grimper le col de Val Louron Azet perché à 1580m. La montée est courte et technique, seulement 7,5 km, avec une dénivellation de 6 à 13,6% sur 6 km. Nous franchissons La Neste d’Aure et traversons Guchen, pour attaquer la route très étriquée de l’ascension de Hourquette d'Ancizan situé à 1564m. cette petite route goudronnée de la largeur d’une voiture grimpe à flanc de montagne à l’ombre des mélèzes. La montée s’étale sur 10 km avec une amplitude moyenne de 7,9% et des pentes raides d’une centaine de mètres à 13,2%. Nous descendons vers Sainte-Marie-de-Campan, et reprenons la route du Tourmalet en sens inverse. Nous passons la Mongie et le col du Tourmalet. A 18h30, nous stoppons les motos au parking du village-vacances, au cours de cette journée, nous aurons grimpés huit cols, vu quelques marmottes, vautours, et Percnoptères.
Diaporama ci-dessous :
Vendredi 6 juin : 190 km - Pic-du-Jer - Grottes-de-Bétharram
Ce matin, c’est notre dernier jour du Road Trip dans les Pyrénées. Le départ est donné à 9h00 en direction de Pierreffite-Nestalas. Puis nous parcourons les 12 km de la D13, très étroite et défoncée, dommage le paysage est sympa. Nous rejoignons la D918, la route des cols. De nouveau un brouillard plus ou moins dense, nous accompagne dans la montée du col du Soulor à partir d’Arruns-Marsous. La montée est longue de 7,4 km et comporte quelques difficultés, notamment les parties à 13,3%. Nous approchons du sommet et le brouillard devient très épais. Les 1474 m d’altitude du col du Soulor sont franchis, sans faire d’arrêt. La descente commence et nous enjambons la frontière virtuelle entre les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Atlantiques. Le brouillard s’éclaircit, les beaux paysages de montagne nous apparaissent comme par enchantement à travers un voile de brume. Puis le col de d'Aubisque à 1709m surgit au détour d’une courbe. Nous nous installons en terrasse à la “Table de l’Aubisque“ pour notre pause-café et profiter du soleil. La Table de l’Aubisque est également un Relais Motards. Nous entamons la descente vers la Vallée de l’Ossau et ses nombreux villages : Gourette, Eaux-Bonnes, Laruns, Béost, Aste-Béon, Bielle et bien d’autres. Nous filons à Lourdes pour prendre le funiculaire pour une ascension au Pic Du Jer à 948m d’altitude. Nous garons nos motos. Le funiculaire parcourt une voie étroite d’un mètre de large, sur 1100 mètres de long, avec une pente variable de 28% à 56%. Le funiculaire traverse 2 tunnels de 65m et 70m et un viaduc comportant 12 arches, 4m de large, 18m de haut et de 200m de long. Chacun s’acquitte de son billet à l’accueil et nous embarquons dans la cabine d’une capacité de 80 personnes depuis la gare inférieure située à 450m d’altitude. C'est depuis la gare d'arrivée à 888m, que nous avons une vue d'ensemble sur la ville de Lourdes et la chaîne des Pyrénées. Le pique-nique est pris sur l’esplanade et le café au restaurant “Le Haut de Lourdes“. Vers 15h30, nous rejoignons les grottes de Bétharram « Beau rameau » en français, pour une visite prévue à 16h00, hélas, nous accumulons un retard de 30mn. Les grottes de Bétharram sont considérées comme les plus belles d’Europe. La visite complète est une balade de 1H20, accompagné d’un guide. Un parcours souterrain comprenant 2,8km à pied, nous permet d’accéder aux trois étages et aux deux grottes “Bétharram et Mélat“ elles ont été découvertes en 1810, et ouvertes au public en 1880. La visite commence dans la partie supérieure à deux niveaux, elle offre une vision vaste et phénoménale de par sa taille. Les concrétions de stalactites, stalagmites, les colonnes et les formes de draperies sont énormes et splendides à la fois, le plafond façon tapis caoutchouc spongieux, façonné depuis des milliers d’années par la rivière souterraine est harmonieux et spectaculaire. Nous descendons les 300 marches du gouffre pour accéder à la grotte inférieure, le festival de beauté opère de nouveau, c’est une expérience unique et fabuleuse. Le retour des grottes se fait par une balade en bateau sur 100m, elle a été annulée en raison d’un problème technique. Nous terminons notre voyage souterrain par un petit train tortillard sur 700m. il est 18h10, nous décidons de rentrer par le chemin le plus rapide à Luz-Saint-Sauveur, non sans oublier de faire le plein pour le retour demain matin. C’était une bonne journée d’enthousiasme et de découvertes. La journée se termine d’abord en fêtant l’anniversaire de Mireille, et par le dîner au restaurant habituel, le groupe tient à remercier l’organisateur de ce Road Trip Pyrénées. Merci à vous de m’avoir fait confiance.
Diaporama ci-dessous :
Samedi 7 juin : 845 km - Luz-Saint-Sauveur – Plémy
Nous avons terminé notre Road Trip de 4 jours intenses dans les Pyrénées.
Aujourd'hui à 8h45, un au revoir à Lionel et Christiane, qui rentrent sur deux jours.
Nous quittons notre Village-Vacances, et amorçons le retour des 845 km vers la Bretagne, en rejoignant Tarbes sous la pluie, pour prendre l’Autoroute A64. Après Pau c’est l’A65 qui prend le relais, suivit de l’A62 jusqu’à l’Aire-des-Terres-de-Graves, notre 1er ravitaillement essence. Une fois passé Bordeaux nous roulons sur l’A10, la pluie nous suit par intermittence. 35km après Bordeaux, nous faisons un arrêt pique-nique sur l’Aire de Boisredon. Nous reprenons notre route sur l’A10, et 2ème arrêt essence sur l’Aire De La Parthenaise A10. Nous effectuons une dernière pause pour le groupe et nous dire au revoir. Nous abandonnons quatre amis à Nantes, d’un grand signe de la main et continuons à avaler l’asphalte en direction de Rennes. Notre amie Mireille nous quitte à Bain-De-Bretagne. Et, c’est seuls que nous finissons les 135km restant pour regagner notre demeure. Il est 17h40.
Encore un beau road trip qui s’achève entre amis AMOTO, merci à vous qui m’avez accepté comme guide et organisateur.
Dom
superbes images et splendides paysages...j'ai reconnu certains endroits !
Super progrograme et super récit ça donne envie de partir dans ce joli coin que je vois sous la neige en février (piau engaly)